Estime de soi (3) : vous faire confiance

Estime de soi (3) : vous faire confiance

Estime de soi (3) : vous faire confiance

“L’inaction fait naitre le doute et la peur.
L’action engendre la confiance et le courage”.
Dale Carnegie

* Temps de lecture estimé 8 min

Avez-vous confiance en vous ?

  • Vous vous excusez souvent pour des choses qui ne sont pas importantes ou sur lesquelles vous n’avez aucun contrôle ?
  • Avez-vous du mal à refuser ou à dire non lorsque vous vous sentez mal à l’aise avec ce qui vous arrive ?
  • La timidité (éviter le regard, rougir, transpirer) vous empêche-t-elle de communiquer facilement avec des inconnus ou devant la hiérarchie ?
  • Doutez-vous facilement de vos capacités et vous vous sentez souvent inférieur aux autres ?
  • Vous avez du mal à entreprendre de nouveaux projets ou à aller de l’avant avec vos idées ?
  • Vous avez le sentiment d’être enfermé(e) ou vous vous sentez incapable d’avancer ?

Avoir des doutes sur ses propres capacités dans une situation donnée peut arriver à n’importe qui. Cependant, la persistance de ces doutes dans le temps peut refléter un manque de confiance en soi.

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Qu’est-ce que la confiance en soi ?

La confiance en soi peut être définie comme la conviction intime de posséder en soi les ressources nécessaires pour réaliser quelque chose ou faire face à une situation donnée : c’est croire en soi, en ses qualités et capacités. L’estime de soi, qui consiste à reconnaître sa propre valeur, est donc un élément important de la confiance en soi.
Soulignons deux choses importantes :

  • La confiance en soi est définie par référence à un domaine déterminé. On peut avoir confiance en soi, par exemple, dans l’utilisation de la technologie, et ne pas avoir confiance en soi dans les relations sociales.
  • D’autre part, la confiance en soi n’est pas statique, c’est-à-dire que l’on peut toujours développer les compétences nécessaires pour effectuer une tâche, même si, auparavant, on n’avait pas la confiance nécessaire pour pouvoir l’accomplir.

Par conséquent, la confiance en soi est intimement liée à l’action. Et de fait, l’action est un puissant moteur pour développer la confiance en soi. Elle renforce, sur la base de réalisations concrètes, la perception de sa propre valeur et de son efficacité personnelle. Par conséquent, elle renforce votre estime de soi et vous permet en même temps de croire en vous pour passer à l’action… Cela active ainsi un cercle vertueux qui augmente votre confiance en soi.

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L’auto-sabotage limite la confiance en soi

Il suffirait donc d’agir pour renforcer la confiance en soi… Et pourtant, vous avez dû remarquer que parfois, même lorsque vous voulez accomplir quelque chose, vos comportements vous guident sur un chemin qui vous en détourne. Comme si vous avanciez avec le pied sur le frein…

Face à leurs objectifs (chercher un nouvel emploi, développer un projet, par exemple), beaucoup de personnes ont tendance à se mettre en situation d’échec, par des comportements ou des actions dont ils n’ont pas conscience. C’est ce qu’on appelle l’auto-sabotage. C’est un mécanisme inconscient que votre esprit met en œuvre lorsque vous voulez faire quelque chose qui active vos peurs. Personne n’est à l’abri de l’auto-sabotage. Il s’agit donc avant tout d’apprendre à en reconnaitre les causes et les manifestations.

Il existe de nombreuses causes possibles à ces comportements d’auto-sabotage :

  • La peur de l’échec
  • La peur du changement, de sortir de la zone de confort.
  • La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.
  • Le syndrome de l’imposteur (sentiment de ne pas mériter le succès, l’amour, etc.).
  • La peur de ne pas être parfait, avoir des attentes excessives.

Toutes ces peurs reflètent des jugements sur soi négatifs, activés par des croyances limitantes (je ne suis pas capable, je ne suis pas digne, je ne suis pas à la hauteur de la tâche…). Elles apparaissent de façon spontanée et prennent le contrôle de la personne et de ses comportements, avec des conséquences directes sur leurs possibilités d’action et de succès.

Ces perceptions sont le symptôme de blessures plus profondes qui appartiennent au passé, souvent à l’enfance. L’important ici est avant tout d’en prendre conscience et d’en reconnaître les conséquences pour en reprendre le contrôle, se mettre en marche et renforcer ainsi sa confiance en soi.

Les principales stratégies d’auto-sabotage

Les principales stratégies d’auto-sabotage
Les stratégies d’auto-sabotage sont nombreuses… Voyons ensemble quelques-unes d’entre elles ensemble et demandez-vous si vous vous reconnaissez en elles…

Le poerfectionnisme est une stratégie très efficace pour ne jamais finir ce que vous entreprenez. Elle consiste à revoir et à réviser, encore et encore, ce qui a déjà été fait pour atteindre un niveau de perfection toujours plus élevé et finalement inaccessible. Êtes-vous capable d’accomplir une tâche et de passer à la suivante même si le résultat n’est pas parfait ?
La dramatisation est une autre forme de perfectionnisme qui consiste à surestimer les difficultés d’une tâche pour justifier son inaction par le fait que nous n’y parviendrons pas. En fait, c’est une stratégie très efficace pour se décourager et abandonner, parfois même avant d’avoir commencé. Connaissez-vous cette stratégie ?

Le piège des excuses: ce sont toutes ces excuses que nous nous donnons à nous-mêmes ou aux autres, pour justifier notre inaction… Une panne de transport, un achat urgent, une situation imprévue qui modifie votre horaire, etc.
Cela vous rappelle quelque chose ?

Le piège du manque de temps est ce comportement qui consiste à ne pas trouver le temps de faire ce qui va dans le sens de vos objectifs, et, au contraire, à trouver le temps de faire d’autres choses. Connaissez-vous ce piège ?

La procrastination: le fameux « remettre à demain ce qui pourrait être fait aujourd’hui ». Qui n’a pas été tenté de reporter à demain le moment de commencer une tâche qui nous semble difficile ? Cela peut arriver, bien sûr, la question se pose lorsque ce comportement se répète encore et encore… Est-ce votre cas ?

La passivité ou l’apathie, qui consiste à préférer l’inaction pour ne pas prendre de risques (en cas de succès ? d’échec ?). Le temps passe et vous ne faites rien… Ou au mieux, vous restez coincé sur les réseaux sociaux. Et plus vous êtes passif, moins vous vous sentez capable d’agir. Ce comportement vous est-il familier ?

L’agitation ou la dispersion: c’est dépenser de l’énergie à faire beaucoup de choses, mais sans rapport avec son objectif, et donc ne plus trouver de temps pour ce qui est vraiment important. C’est un moyen efficace de ne pas ressentir les peurs, les sensations, les émotions qui sont activées devant vos objectifs. Et vous, êtes-vous dans la dispersion ?

L’intellectualisation est un autre piège : dans ce cas on reste dans la théorie, dans les concepts, ce qui donne l’illusion d’avancer, mais évite d’agir. La conceptualisation d’un projet qui ne finit jamais, la recherche de documentation pour la préparation d’une communication qui occupe tout votre temps… Vous êtes-vous déjà laissé prendre par ce piège ?

Vous ne pouvez rien faire face à ces comportements limitants tant que vous n’en êtes pas conscient. La première étape pour en sortir est donc d’en être conscient.

Comment reprendre confiance en soi ?

Comment reprendre confiance en soi ?
L’auto-sabotage n’est pas une fatalité. La première étape pour rompre avec ces comportements limitants est de sortir de la victimisation: « Je suis vraiment malchanceux », « Je ne suis pas bon », « Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ». Ce n’est pas une question de malchance ou de manque de compétences. Vous pouvez, si vous le souhaitez, remettre en question ces comportements et les changer.

Observez et défiez vos comportements
Tout d’abord, observez-vous : Où vous mènent ces stratégies et qu’obtenez-vous avec elles ? Comment vous jugez-vous vous-même lorsque vous y cédez ? Quel impact cela a-t-il sur votre confiance en vous ? Demandez-vous ensuite : Est-ce juste pour vous de vous comporter de cette façon ? Voulez-vous continuer à le faire ?

Repérez vos croyances limitantes
Pour changer votre comportement, interrogez-vous sur les croyances et les peurs qui les activent : Qu’est-ce qui m’empêche de réussir ? Que puis-je gagner ou perdre si j’atteins mon objectif ? Est-il juste pour moi de croire ce que je crois ? Une croyance est une idée que nous avons acceptée comme vraie à un moment donné de notre vie et qui s’est maintenue au fil du temps alors que les circonstances qui en ont fait une réalité à nos yeux ont disparu … Clarifier ses peurs et ses croyances permet de commencer à les questionner et à chercher des alternatives.

Sortez de votre zone de confort et passez à l’action
La « zone de confort » est cet espace dans lequel nous nous avançons en territoire familier, en répétant des routines rassurantes. Elle nous permet de préserver notre sécurité (ou la perception que nous en avons) et de limiter les risques de l’inconnu. Sortir de sa zone de confort, c’est remettre en question ses habitudes, affronter ses peurs et assumer la responsabilité de ses actes. La peur de l’échec peut être un mécanisme puissant pour résister au changement. Cependant, se tromper et faire des erreurs fait partie intégrante de l’apprentissage.

Osez croire en vous

«On peut toujours plus que ce que l’on croit pouvoir .»
Joseph Kessel
Alors, comme nous le dit Joseph Kessel, osez croire en vous…
Reprendre confiance en soi nécessite un travail constant pour changer les comportements d’auto-sabotage qui limitent le développement de vos projets.
Alors rappelez-vous : plus vous accomplissez de choses dont vous n’êtes fier, plus vous serez confiant. Et plus vous aurez confiance en vous, plus vous renforcerez votre estime de soi…

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Estime de soi (2): Développer votre assertivité

Estime de soi (2): Développer votre assertivité

Estime de soi (2): Développer votre assertivité

 » Être passif, c’est laisser les autres décider à votre place.
Être agressif, c’est décider au lieu des autres.
Être affirmé, c’est décider pour soi-même « .
Edith Eva Eger

* Temps de lecture estimé 8 min

SUIS-JE UNE PERSONNE ASSERTIVE ?

Observons si vous vous reconnaissez dans les situations suivantes…

  • Vous laissez les autres décider pour vous pour éviter les conflits.
  • Vous n’exprimez pas votre opinion de peur d’être en désaccord et d’être mal jugé(e).
  • Vous ne prenez pas l’initiative, même dans les situations qui vous concernent.
  • Vous faites passer les autres avant vous, vous anticipez leurs besoins et leurs désirs, tout en mettant de côté les vôtres.
  • Vous vous sentez incapable et dépendant des autres pour avancer dans votre vie.

L’estime de soi, comme nous l’avons vu dans l’article précédent, reflète la relation que l’on entretient avec soi-même. L’affirmation de soi implique la façon dont nous interagissons avec les autres. En particulier, elle reflète notre capacité à nous montrer tels que nous sommes dans notre relation avec les autres. La difficulté apparaît lorsque l’on a une faible estime de soi et, par conséquent, une faible perception de sa valeur personnelle.

QU’EST CE QUE L’ASSERTIVITÉ ?

L’assertivité, ou attitude affirmative, signifie savoir comment exprimer clairement son opinion, ses sentiments et ses besoins. Elle est basée sur la reconnaissance et l’acceptation de sa propre valeur et le sentiment d’être un individu qui a autant de valeur que les autres. Cela vous permet d’exprimer vos propres émotions, pensées et opinions directement et honnêtement et de défendre vos propres droits tout en respectant ceux des autres.

assertivité
Par conséquent, être assertif, c’est prendre le contrôle de sa propre vie.
Nous avons tous des besoins et des droits, et les respecter commence par soi-même.
Ne pas exprimer clairement ce que nous ressentons ou ce que nous pensons, active en nous un malaise, qui reflète un mélange de culpabilité, de frustration, de colère. En fin de compte, un sentiment de manque de contrôle sur sa vie.
Au contraire, avoir une attitude affirmative, c’est montrer que nous reconnaissons et respectons nos propres talents, sentiments et besoins. En définitive, cela nous permet d’avoir le contrôle sur notre vie.

S’affirmer, c’est aussi faire valoir ses droits
En nous affirmant, nous reconnaissons notre légitimité à faire valoir nos droits : avoir une opinion et l’exprimer, ressentir des émotions et les exprimer, prendre ses propres décisions et assumer leurs conséquences, dire « non », dire « je ne sais pas », changer d’avis, etc. S’affirmer ne signifie pas « dire non » à l’autre, mais « dire oui » à soi-même.

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PASSIF, AGRESSIF OU ASSERTIF ?

Les psychologues Wolpe et Lazarus, pionniers des thérapies comportementales, nous proposent la distinction entre 3 types de position dans les interactions avec les autres, en fonction de la capacité de respect et de décision par soi-même.
Le type passif (ou soumis) reflète un manque de respect de soi qui se manifeste par une difficulté à décider pour soi-même.
Le type agressif se manifeste par un manque de respect pour l’autre qui s’observe à travers la tendance à décider pour les autres.
Le type affirmatif ou assertif reflète le respect de soi et le respect des autres, c’est-à-dire décider pour soi-même.

Le type passif
La personne passive se comporte avec les autres en se laissant guider par ses peurs : peur d’être rejetée, désapprouvée ou de blesser les autres. Principalement :

  • Elle n’exprime pas ses besoins, ses opinions, ses émotions.
  • Elle évite les conflits.
  • Elle ne prend pas d’initiatives.

Ayant une faible estime de soi, la personne de type passif attend que l’autre lui confirme sa valeur et sa place dans la vie. D’une certaine manière, elle estime qu’il est plus sûr de se taire que de risquer une réponse négative de l’autre…

Elle a souvent l’impression que ses besoins ne sont pas satisfaits ou que son entourage profite d’elle. Elle ressent de la frustration, de l’insatisfaction, de la culpabilité et développe un sentiment d’impuissance qui peut conduire à la dépression, à l’insomnie, voire à des problèmes de santé.

Le type agressif
La personne de type agressif se comporte également avec les autres sur la base de la peur. Dans ce cas, la peur de ne pas être reconnu(e) active la nécessité de revendiquer la place qu’elle considère être la sienne. Ce faisant :
Elle est égocentrique et insensible aux idées, aux sentiments et aux besoins des autres.

Elle répond d’abord à ses besoins, parfois au détriment de ceux des autres.

Elle interagit de manière conflictuelle, parfois violente ou irrespectueuse.

Une personne de type agressif ressent beaucoup de stress, de culpabilité et d’inconfort. En effet, la satisfaction obtenue par l’imposition à court terme de son propre besoin génère souvent des problèmes relationnels (conflits répétés, ruptures relationnelles, isolement, atteinte à l’estime de soi).

Le type assertif
La personne assertive interagit avec l’autre à partir de la conscience et de la reconnaissance de sa propre valeur. En ce sens, elle n’agit ni par peur du rejet de l’autre, ni par besoin de s’imposer. Par conséquent :

  • Elle connaît ses besoins et désirs.
  • Elle sait exprimer clairement ses sentiments dans le respect des autres.
  • Elle est authentique, ouverte, directe, flexible.
  • Elle est capable de faire des compromis.

Une personne affirmative démontre une bonne estime de soi qui lui permet d’assumer l’entière responsabilité de répondre à ses besoins dans le respect des autres. Par conséquent, elle entretient des relations satisfaisantes qui, à leur tour, renforcent son estime de soi.

S’affirmer ne signifie pas manquer de respect à l’autre, mais prendre sa place tout en laissant l’autre prendre la sienne.

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COMMENT DÉVELOPPER SON AFFIRMATION DE SOI ?

Pourquoi est-il parfois si difficile de se montrer tel que l’on est, de s’affirmer ? L’être humain a deux besoins fondamentaux contradictoires : le besoin d’approbation et le besoin d’affirmation. Mais s’affirmer, c’est oser dire et demander et assumer la possibilité d’un rejet ou d’un refus. Cela nécessite de surmonter ses peurs, d’agacer, d’attirer l’attention, de mal s’exprimer, de créer un conflit, de blesser l’autre, d’être rejeté.
Alors, comment développer l’affirmation de soi ?
Soyez vous-même
Entraînez-vous tous les jours
Comment faire ? Le besoin d’affirmation est omniprésent dans les relations et nous confronte à une multitude de situations quotidiennes qui sont des invitations à pratiquer le développement d’une attitude assertive. En voici quelques exemples :

  • Oser demander quand vous en avez besoin (accepter que l’autre puisse refuser et surmonter la peur de prouver que vous n’êtes pas à la hauteur de la tâche).
  • Rejeter les demandes et savoir dire Non (respecter ses besoins et accepter de déplaire à l’autre).
  • Exprimer vos sentiments (soyez sincère et authentique).
  • Accepter les compliments ou les expressions d’affection (et accepter de les mériter).
  • Formuler une critique ou exprimer votre agacement ou votre colère lorsque cela est nécessaire (exprimer vos sentiments et prendre le risque d’un conflit).
  • Faire face à la critique ou à la colère des autres (comprendre et accepter la responsabilité de chacun dans la situation).
  • Mettre fin à la discussion lorsque la conversation est bloquée (renoncer à avoir raison et savoir comment sortir d’une situation qui s’enlise).

Défiez vos peurs
Vous observerez à travers cette invitation à pratiquer une attitude affirmée, que l’essentiel est avant tout de vous mettre au défi de surmonter vos peurs. Une peur est une projection inconsciente de ce qui pourrait arriver dans le futur, que vous ressentez et vivez comme si c’était réel. Ce faisant, vous commencez à souffrir dans le présent pour quelque chose qui ne s’est pas encore produit et souvent, et vous vous découragez… Par conséquent, peu importe ce qui active vos peurs, l’important est d’en être conscient, d’oser y faire face et d’agir !

Soyez vous-même
« S’affirmer ne signifie pas parler haut et fort, mais parler vrai », explique l’écrivain Serge Tracy. L’affirmation de soi consiste donc en une attitude qui nous permet d’être autonomes : une personne qui s’affirme parle d’elle-même, de ses sentiments, de ses besoins et de ses droits.
C’est une attitude qui se développe au contact des autres et qui s’apprend tout au long de la vie. Une personne qui s’affirme croit en sa valeur et en ses idées. En même temps, l’affirmation de soi renforce l’estime de soi.

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Estime de soi (1) : Apprendre à se valoriser

Estime de soi (1) : Apprendre à se valoriser

“ Se connaître soi-même est le début de toute sagesse ”.
Aristote

SE CONNAÎTRE SOI-MÊME… POUR QUOI FAIRE ?

Si cette question vous surprend, demandez-vous si vous avez déjà observé dans votre vie des comportements que vous répétez sans cesse, et qui vous empêchent d’avancer dans la direction choisie… Certains pensent que c’est leur façon d’être… D’autres, cependant, pensent qu’il est possible de remettre en question leurs apprentissages et leurs conditionnements et de rechercher une alternative plus satisfaisante… Se connaître soi-même consiste donc à explorer, identifier et questionner ses « schémas » limitants afin d’expérimenter en conscience différentes façons d’agir. Se connaître soi-même est le point de départ pour renforcer les différentes facettes d’une bonne estime de soi.

QU’EST-CE QUE L’ESTIME DE SOI ?

L’estime de soi recouvre trois dimensions fondamentales, qui sont liées entre elles :

  1. La relation que l’on entretient avec soi-même, qui reflète la valeur que l’on se reconnaît soi-même. C’est ce qu’on appelle l’auto-valorisation.
  2. La relation que l’on entretient avec les autres, qui reflète la place que l’on pense mériter avec eux. Nous parlons ici d’affirmation.
  3. La relation que l’on entretient avec l’action, qui reflète comment on se considère capable d’agir et de réussir ce que l’on entreprend. C’est ce qu’on appelle la confiance en soi.

Dans ce premier article sur l’estime de soi, d’une série de 3, nous explorerons la question de la reconnaissance de sa valeur personnelle, pilier d’une bonne estime de soi qui conditionne, comme nous le verrons par la suite, l’affirmation de soi et la confiance en soi.

AVEZ-VOUS UNE BONNE ESTIME DE VOUS ?

Commençons à explorer cette question à travers quelques questions…

  • Vous acceptez mal les critiques formulées par les autres ?
  • Vous essayez de rendre les autres responsables de vos erreurs ?
  • Avez-vous peur des nouvelles expériences ?
  • Parlez-vous aux autres de vos réussites personnelles ?
  • Trouvez-vous toujours des excuses pour ne pas changer ?
  • Avez-vous tendance à cacher ce que vous ressentez ?
  • Cela vous tranquillise-t-il lorsque les autres échouent ?

Toutes ces réponses qui s’activent en vous reflètent la perception que vous avez de vous-même. Et cette perception conditionne votre estime de soi…

SE VALORISER EST LA BASE D’UNE BONNE ESTIME DE SOI

Le verbe estimer vient du latin aestimare, qui signifie évaluer, dans le double sens de « déterminer la valeur de » et « donner son avis sur ». Le psychologue Christophe André lnous partage cette définition fournie par un adolescent : « l’estime de soi ? Eh bien, c’est comment on se voit, et si on aime ou pas ce qu’on voit de nous. » Par conséquent, l’estime de soi est à la fois la façon dont nous nous voyons et le jugement que nous avons sur cette perception.

La question clé ici est de savoir comment se forme ce « regard/jugement » qui conditionne notre estime de soi.
Nous avons tous une image, bonne ou mauvaise, de soi-même. C’est quelque chose qui se construit depuis l’enfance, à travers la façon dont les autres nous voient et ce qu’ils nous en disent. Ce regard extérieur sert de miroir sur soi-même.

Nous nous forgeons également une image idéale de ce que nous aimerions être et comment nous aimerions que les gens nous voient pour répondre à leurs attentes et être acceptés et aimés par eux… Cela aussi se construit aussi à travers les autres et ce que nous percevons de leurs attentes à notre égard.

Une bonne estime de soi reflète un équilibre entre ce que nous pensons être et la valeur que nous nous accordons, en référence à ce que nous pensons que nous devrions être pour être valorisé. Cependant, si ce que nous voyons de nous-mêmes ne nous semble pas conforme à ce que nous pensons que nous devrions être, alors notre jugement, négatif, affecte notre estime de soi.

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ESTIME DE SOI ET PERCEPTION DE SOI

Nous parlons depuis le début de cet article de perception… La perception, c’est l’interprétation que notre cerveau fait des informations sensorielles qu’il reçoit à travers nos sens, dans les différentes circonstances de notre vie, pour nous aider à les comprendre et à les gérer. Et cette interprétation se fait à travers tous nos apprentissages de vie qui lui donnent un sens. C’est ce qu’on appelle des filtres cognitifs.

Estime de soi et perception de soi
Dans le cas de l’estime de soi, les perceptions de « qui nous sommes » et « qui nous devrions être » agissent comme des filtres qui définissent notre perception de soi. Selon le cas, notre perception est positive (je me vois capable, travailleur, intelligent, légitime, ouvert, etc.), et nous pousse vers l’avant. Notre perception peut aussi être négative (je me vois incapable, incohérent, imposteur, agressif, timide, etc.) Et, inversement, cela nous décourage.

Cependant, une chose est ce que pensons être sur la base de ces perceptions. Autre chose est ce que nous sommes vraiment, et que nos perceptions nous empêchent de voir….

Il est possible que, sans en être conscients, nous ayons assumé comme étant vrai ce que l’on nous a dit sur qui nous sommes et sur ce que nous devrions être. Cependant, nous avons la liberté, en particulier quand notre perception de soi affecte notre estime de soi, de remettre en question ce que nous avons toujours cru de nous-mêmes.

En effet, notre perception réduit ce que nous voyons de nous-mêmes à ce que nous croyons que nous sommes, c’est-à-dire qu’elle nous empêche d’avoir une vision globale de qui nous sommes vraiment.
Donc, si ma perception de moi n’est pas la réalité, alors, qui suis-je… ? Et quelle est ma vraie valeur ?

COMMENT RECONNAÎTRE MA VALEUR PERSONNELLE ?

“ Je ne suis pas ce qui m’est arrivé. Je suis ce que je choisis de devenir ”.
Carl Gustav Yung
valeur personnelle

Votre histoire ne vous définit pas. Vous avez le pouvoir, comme nous le dit Carl Gustav Yung, de choisir ce que vous voulez faire de ce que vous avez vécu et de devenir qui vous voulez être.
Par conséquent, développer une bonne estime de soi est avant tout un choix personnel basé sur la prise de conscience préalable de vos propres perceptions limitantes.

Êtes-vous prêt à explorer, au-delà de ce que vous pensez, qui êtes-vous vraiment ?
Qui êtes-vous réellement ?
Êtes-vous prêt à remettre en question vos certitudes sur qui vous êtes et à les changer ?
Êtes-vous prêt à vous accepter tel que vous êtes et à reconnaître votre vraie valeur et valoriser votre potentiel ?

Renforcer son estime de soi est un travail personnel qui nécessite du temps. Je vous propose 5 étapes pour commencer à élargir votre perception de vous-même et apprendre à vous valoriser.

1. Être conscient de sa perception de soi et commencer à la remettre en question

Votre estime de soi dépend de la façon dont vous vous évaluez, c’est-à-dire de la façon dont vous vous voyez par rapport à la façon dont vous aimeriez être.

Prenez le temps de définir concrètement qui vous pensez être, avec vos défauts et vos qualités. Définissez également qui vous aimeriez être par rapport à qui vous pensez être.

Et demandez-vous si vous êtes vraiment cette personne que vous décrivez…

2. Vous reconnaîtretel que vous êtes, avec tous vos défauts et qualités

Il se peut que votre esprit vous ait habitué à vous concentrer davantage sur vos défauts que sur vos qualités. Je vous propose de faire une liste de tous vos succès dans la vie, qu’ils soient personnels ou professionnels, quelle que soit leur importance.

Et voyez quelles qualités de vous qui vous ont permis d’atteindre ces succès. Si cela vous aide, vous pouvez imaginer ce que vous diriez à quelqu’un d’autre sur ses qualités dans les mêmes circonstances.

3. Accepter et célébrer vos talents personnels

Le plus difficile, quand on a une faible estime de soi, est de percevoir et de reconnaître ses qualités. Souvent, elles apparaissent comme quelque chose de normal, sans valeur particulière. Cependant ce qui manque est toujours plus valorisé que ce qui a été réalisé. C’est l’histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide…

Un bon critère pour reconnaître s’il est difficile pour vous de vous valoriser est d’observer comment vous recevez les compliments… Vous pouvez, pour commencer, demander à vos proches quelles sont vos qualités. Et observez-vous lorsque vous recevez leurs réponses.

4. Être aimable avec vous-même et renoncer à l’autocritique constante sur ce que vous faites et comment vous le faites

Connaissez-vous cette voix intérieure qui s’active en permanence pour commenter négativement tout ce que vous faites ou dites dans votre vie ? Tout est mal, tout est insuffisant, tout est moins bien que les autres… Cette autocritique constante a un impact dévastateur sur l’estime de soi…

Être aimable avec soi-même consiste à prendre conscience de cette voix critique et à relativiser son discours, à élargir le regard pour prendre en compte les aspects plus positifs de chaque situation, à valoriser les efforts plus que les résultats immédiats, et à s’encourager à aller de l’avant.

5. Prendre le temps de définir qui vous voulez être (votre meilleure version de vous-même)

À la fin de cette réflexion, vous pouvez revenir sur votre première description de qui vous êtes et la compléter avec un regard plus bienveillant et un jugement plus positif sur vous-même.

Un exercice très intéressant pour renforcer votre estime de soi dans cette phase est d’écrire votre déclaration personnelle de qui vous êtes et qui vous voulez être.

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Comment être acteur de votre vie

Comment être acteur de votre vie

« Votre vie commence à changer le jour où vous en assumez la responsabilité »
Steve Maraboli

La vie nous place constamment face à des situations qui nous défient…

Un changement de travail, une relation tendue avec un collègue, le manque de reconnaissance de nos chefs, une quantité de travail qui nous dépasse, de nouvelles responsabilités qui génèrent beaucoup de pression…

De même dans la vie personnelle… difficultés à communiquer avec notre partenaire, surmonter une séparation, un deuil, la solitude, le manque de temps pour prendre soin de soi, pour avoir une vie en dehors du travail…

Et parfois, sans savoir ni quand ni comment, nous nous sentons se sent dépassé, perdu, bloqué, ne sachant plus quoi faire… Nous manquons d’énergie et de motivation pour faire de nouveaux pas, nous sommes piégés, malgré nous, dans des comportements de dispersion et de procrastination qui, à leur tour, activent la frustration, l’autocritique et, à la fin, renforcent le stress, la démotivation et l’apathie.

Nous entrons peu à peu dans un blocage mental où chaque situation est perçue comme un obstacle qui active des pensées négatives et une perception de notre réalité qui, à son tour, développe un sentiment d’impuissance qui nous empêche de bouger et nous enferme un peu plus dans le blogage mental …

Et c’est vrai, quand je me retrouve dans cette situation, il m’est très difficile d’imaginer comment changer ma vie. C’est comme être attrapé dans un labyrinthe où je fais des pas à aveugles en trébuchant toujours sur les mêmes impasses. Je me retrouve à contrecœur dans ma soi-disant zone de confort…

Cependant, imaginez un instant que vous pouvez vous regarder de l’extérieur, comme si vous étiez au sommet d’une colline qui vous permettait de prendre de la hauteur pour vous voir dans le labyrinthe dans lequel vous tournez en rond…

Et si, d’en haut, vous pouviez voir où se trouve la sortie…

C’est le voyage auquel je vous invite à travers cet article pour, à partir de la prise de conscience, reprendre les rênes de votre vie.

Blâmer les autres ou les circonstances

Ce sont mes circonstances qui m’enferment dans ma zone de confort ?

Il existe de nombreux « pièges » de l’esprit pour nous placer dans un sentiment d’impuissance…

Prenez le temps de vous arrêter et de respirer profondément pour commencer à observer votre réalité.

Pensées négatives

Blâmer les autres est l’un de ces pièges…

Mon partenaire ne m’écoute pas, ne respecte pas mes besoins… Mon patron me demande toujours plus et ne reconnaît pas mes efforts… Mes collègues ne partagent pas l’information, ils ne m’aident pas quand j’en ai besoin, parfois même ils se moquent de moi… Mes amis ne m’écoutent pas, ils profitent de moi… Ma famille ne reconnait pas ma valeur…

De ce point de vue, toutes mes difficultés viennent de l’extérieur… Ce sont les autres qui se comportent d’une manière qui me fait du mal. Donc, se sentir mieux signifie qu’ils changent la façon dont ils se comportent avec moi.

Quand je me place dans cette perspective, ma façon d’agir se concentre sur le fait de faire voir à l’autre qu’il me fait mal, de lui demander de reconnaître qu’il a tort, et qu’il doit changer sa façon de se comporter… Je délègue la responsabilité de mon propre bien-être à l’autre personne…

 

Blâmer les circonstances est un autre piège très dommageable…

Blâmer les dysfonctionnements du marché du travail, mon âge (trop jeune ou trop vieux), mon expérience (insuffisante ou excessive), le Covid, la solitude, l’injustice générée par la gestion du travail dans mon entreprise, ou l’injustice dans la société en général, le rythme de vie quand j’ai besoin de combiner mon travail avec la garde de mes enfants… Blâmer aussi les circonstances de mon propre passé qui génère de l’insécurité en moi…

La liste est longue de toutes les circonstances que je perçois comme la raison principale des difficultés qui m’empêchent de changer le cours de ma vie.

 

De la même manière que lorsque je blâme les autres, je projette hors de mon contrôle la responsabilité de mes difficultés pour avancer, et sans m’en rendre compte, je me place dans une position de « victime » de quelque chose que je ne peux pas contrôler.

Nous pouvons perdre beaucoup de force et d’énergie en nous efforçant de réaliser quelque chose qui ne dépend pas de nous…

Et si nous commencions à regarder ce qui dépend vraiment de nous…

Quelle est ma responsabilité pour sortir de ma zone de confort ?

Il est temps de sortir du labyrinthe et de grimper sur la colline pour commencer à voir, sous un autre angle, cette réalité qui m’attrape…

Sortir de sa zone de confort

Votre façon de vivre votre réalité serait donc l’unique façon de la vivre ?

N’avez-vous pas d’autres collègues capables de s’imposer et de se faire respecter ?

Que font-ils que vous ne faites pas vous-même ?

Qu’est-ce qui vous empêche, vous, de donner votre première conférence publique alors que vos collègues le font déjà ?

Qu’est-ce qui vous empêche d’exprimer et de respecter vos besoins avec votre partenaire ou vos amis et de dire non lorsqu’ils vous proposent quelque chose que vous n’avez pas envie de faire ?

Qu’est-ce qui vous empêche d’assumer vos propres décisions même lorsque votre partenaire, votre famille, votre environnement ne les partagent pas ?

Qu’est-ce qui vous conduit à rester à l’ombre alors que vous pourriez vous exposer à la lumière ?

“Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont, mais telles que nous sommes.”
Jiddu Krishnamurti

Cette phrase du philosophe Jiddu Krishnamurti nous rappelle que notre vision des choses n’est pas la réalité mais la perception que nous en avons, et celle-ci reflète les limitations de notre propre carte mentale… Je vous invite à commencer à regarder à l’intérieur de vous, à observer ce « tel que vous êtes » et à le faire sans jugement et avec une grande bienveillance envers vous-même.

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Vous reconnaissez-vous si je parle d’auto-exigence ? Cette voix intérieure qui vous dit constamment que vous devez en faire plus, plus vite et, surtout, parfait et sans erreurs (depuis cette injonction si agressive du il faut ou je dois). Et quand la pression pour atteindre le niveau de perfection exigé vous paralyse, active l’autocritique et la dévalorisation…? Vous sentez-vous capable de gérer votre réalité, personnel ou professionnel, depuis cette exigence ?

La peur est une autre source de pression pour activer vos blocages face à votre situation. La peur de la critique ou de ce que les autres pourraient penser, la peur de faire des erreurs et de l’échec, la peur du rejet et d’être rejeté, etc. La peur consiste à laisser notre esprit anticiper de manière négative tout ce qui pourrait arriver dans le futur, et, bien que cela ne se soit pas encore produit, nous commençons à agir comme si c’était vrai : pourquoi faire des efforts et essayer si je suis convaincu que je serai critiqué, que je vais échouer ou que je vais être rejeté… Mieux vaut renoncer maintenant sans même avoir essayé…

Le manque d’estime de soi est une autre source de blocage. Lorsqu’elle vous fait défaut, elle vous conduit à porter votre attention sur tout ce vous pensez ne pas être, en comparaison à ce que vous percevez des autres ou à ce que vous pensez que vous devriez être. Cela vous fait vous sentir « moins » que les autres, parfois vous vous sentez même « petit » et cela renforce une vision négative de vous-même qui vous enlève la force, la motivation et l’énergie dont vous avez besoin pour aller de l’avant.

La peur, l’auto-exigence, la faible estime de soi sont autant de mécanismes qui renforcent votre sentiment d’impuissance face à vos circonstances… La bonne nouvelle c’est que, dans tous les cas, le blogage qui en résulte n’est pas tant dû aux circonstances extérieures, mais à votre façon de voir la réalité… Et cela, oui, peut être changé depuis la connaissance de soi et le développement personnel.

 

C’est lorsque vous commencez à réaliser que c’est votre façon de percevoir la réalité qui vous fait empêche d’avance, que vous pouvez commencer à assumer votre propre responsabilité individuelle et à remettre en question cette perception.

Assumer cette responsabilité vous permet de travailler sur vous-même, vous donne le pouvoir de changer et de commencer à chercher la porte de sortie pour être acteur de votre vie.

Les 5 clés pour activer votre pouvoir personnel et être acteur de votre vie

Vous êtes désormais conscient de ces obstacles internes qui vous empêchent d’avancer et, surtout, que vous avez le pouvoir de les surmonter… Vous êtes donc prêt à commencer à vous mettre ne marche et à changer votre vie.

Regardons ensemble les 5 clés de votre pouvoir personnel.

Les clés pour être acteur de votre vie

1. Vouloir changer

Si vous lisez cet article, c’est qu’une partie de vous est déjà disposée à trouver des solutions pour changer le cours de votre vie… Vous pouvez être attrapé depuis longtemps dans votre blocage mental et vous pourriez y rester plus longtemps encore, jusqu’à ce moment où vous en ressentez le besoin vital. Vous êtes le seul à savoir quand le moment est venu. Je me souviens d’une jeune femme qui, après avoir travaillé sur elle-même, voulait encourager sa sœur, qu’elle jugeait dans une situation délicate, à commencer elle aussi un travail personnel. Celle-ci a cependant attendu plus d’un an avant de se décider. Elle l’a fait quand elle-même en a senti l’utilité.

 

2. Définir vos objectifs

Si vous n’aimez pas la façon dont vous vivez votre vie, demandez-vous, précisément, comment vous aimeriez la vivre. Cette étape semble évidente, cependant, elle ne l’est pas tant que ça… En fait, il est fréquent de définir ses objectifs sur la base de ce que nous ne voulons pas, ce qui nous maintient notre attention sur ce qui ne va pas dans notre vie. Définir en positif ce que nous voulons signifie regarder vers l’avant et commencer à visualiser comment nous voulons vivre dans notre vie… Faites l’essai… Comment aimeriez-vous gérer votre situation actuelle différemment ? De quoi avez-vous besoin pour cela ? Osez regarder vers l’avenir pour imaginer votre vie idéale dans tous les domaines de votre vie…

 

3. Défier vos pensées

Bien sûr, il y a encore des obstacles sur votre chemin pour atteindre vos objectifs… Peurs, autocritique, manque d’estime de soi… Cette étape consiste à commencer à remettre en question votre façon de penser et à remettre en question « ce que votre esprit vous dit ». Si vous connaissez déjà la méditation ou le mindfulness, vous saurez qu’il est possible d’observer vos pensées négatives, c’est-à-dire d’être conscient de leur présence et de votre capacité à les laisser traverser votre esprit et à les laisser partir. Peut-être avez-vous également besoin de chercher un professionnel pour vous accompagner dans ce processus d’exploration et d’expansion de votre carte mentale et de votre connaissance de soi. L’important est avant tout d’être conscient que vous pouvez le faire.

 

4. Y croire

Justement, parfois, alors que vous êtes prêt à lâcher votre négativité, apparaît cette petite voix intérieure qui vous murmure : « Je n’y crois pas… ». Alors, soit vous l’écoutez et vous restez à nouveau bloqué dans le sentiment d’impuissance, soit vous décidez de vous donner suffisamment de crédit pour commencer à expérimenter une voie alternative.

Henry Ford disait : « Que vous pensiez pouvoir accomplir une tâche ou ne pas pouvoir l’accomplir, vous avez dans les deux cas raison. » Alors, qui choisit ce que vous voulez penser ? Décidez-vous d’écouter cette voix ? Ou décidez-vous de vous donner une chance d’explorer quelque chose de nouveau ?

 

5. • Oser faire le premier pas et être acteur de votre vie

Il est possible qu’au moment de faire le premier pas, vous ressentiez à nouveau la force d’attraction de votre zone de confort, qui reflète les contours, conscients ou inconscients, de votre carte mentale. Si cela vous arrive, posez-vous la question : dans quel but voulez-vous faire ce premier pas ? Qu’est-ce que vous apportera le fait d’atteindre vos objectifs ? Quelle importance accordez-vous à ce changement dans votre vie ? Le voulez-vous vraiment ? Alors, qu’êtes-vous prêt à faire pour y parvenir ?

Et n’oubliez pas, sans action, il n’y a pas de changement.

 

Alors, pour sortir de votre zone de confort, rappelez-vous…

La solution est en vous…

Apprenez à vous connaître vous-même pour découvrir les clés de votre pouvoir personnel.

Devenez acteur de votre vie.

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10 questions fréquentes sur le coaching de vie

10 questions fréquentes sur le coaching de vie

1. Qu’est-ce que le coaching de vie ?

Le coaching de vie est un accompagnement individualisé qui permet de clarifier ses objectifs personnels ou professionnels et de générer les changements nécessaires pour les atteindre.

Nous laissons les problèmes pour regarder vers l’avenir et nous concentrer sur les objectifs que nous voulons atteindre.

Nous observons comment nous faisons les choses pour voir comment nous pourrions les faire autrement et ainsi obtenir des résultats différents.

Et nous commençons à définir des actions concrètes et à expérimenter dès la première séance pour aller de l’avant. Sans action, il n’y a pas de changement.

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2. Quels types d’objectifs peut-on travailler avec un coach de vie ?

Le coach de vie travaille avec des personnes qui ont besoin, à un certain moment de leur vie, d’un soutien pour clarifier leurs objectifs personnels et/ou professionnels (souvent entremêlés) et tracer le chemin pour les atteindre.

Au niveau professionnel, cela peut être développer des compétences telles que le leadership, l’affirmation de soi, la prise de décision, le changement d’emploi, la gestion du stress, le développement d’un projet, trouver sa voie et se sentir réalisé, etc.

Sur le plan personnel, il peut s’agir de renforcer sa confiance et son estime de soi, d’apprendre à fixer des limites et à dire non, de développer son intelligence émotionnelle, de se respecter et de s’aimer, de gérer ses relations sentimentales, sociales ou familiales…

3. Comment puis-je savoir si j’ai besoin d’un coach ?

Il y a des moments dans la vie où nous nous sentons attrapés dans notre routine, perdus, ne sachant plus exactement ce que nous voulons ni où nous allons. Il arrive aussi parfois que l’on sache ce que l’on veut sans savoir comment faire le premier pas pour avancer vers nos objectifs…

Comment puis-je savoir si j’ai besoin d’un coach ?
Le coaching de vie offre un espace pour s’arrêter, s’écouter, clarifier ce que l’on souhaite vraiment réaliser dans votre vie et aller de l’avant.

En ce sens, le coaching diffère de la thérapie par son orientation vers l’avenir et l’importance de porter la réflexion à l’action.

4. Comment se déroule une séance de coaching ?

Chaque entretien de coaching commence par la définition d’un objectif autour duquel se déroule la séance.

Cet objectif peut être, par exemple, en début de processus, de clarifier les objectifs à atteindre, et en cours de processus, nous nous centrons sur les défis présentés par les étapes successives à franchir pour parvenir au but défini.

Comment se déroule une séance de coaching ?
Par ses questions, le coach vous invite alors son client à réfléchir sur sa situation actuelle et à explorer les obstacles possibles afin d’identifier les options à développer pour aller de l’avant. Il vous invite également à définir des actions concrètes pour initier le changement souhaité et valide votre engagement pour les mettre en œuvre.

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5. Combien de temps dure un processus de coaching de vie et quel est le rythme des séances ?

Mon expérience me conduit à observer qu’un processus complet de coaching de vie dure en moyenne entre 10 et 12 séances et le rythme des séances s’ajuste aux besoins de chacun.

Ceci dit, chaque personne est unique et son processus dépend de ses objectifs et du chemin à parcourir pour l’atteindre. Deux aspects importants apparaissent autour de cette question :

  • Le coach reconnaît le potentiel de la personne et ne fait donc pas un diagnostic préalable du temps requit qui pourrait induire la durée ou le rythme du processus.
  • ELe coaching ne génère pas de dépendance et laisse à tout moment, le protagonisme de son processus au client.

Par conséquent, le processus s’ajuste en permanence aux besoins exprimé par la personne.

Déroulement et étapes d'un processus de coaching

6. Quelles sont les étapes d’un processus de coaching ?

Le modèle le plus courant pour structurer un processus de coaching est le GROW. Ce mot, qui signifie grandir, est l’acronyme de 4 mots qui définissent les étapes du processus : Goal, Reality, Options, Will.

Étapes d'un processus de coaching
  • La première étape est donc de clarifier les objectifs : lorsqu’une personne arrive avec ses problèmes, le coach l’invite à définir des objectifs, en regardant vers l’avenir.
  • La seconde consiste à explorer la réalité dans laquelle se trouve la personne et, en particulier, à différencier la réalité de la perception qu’elle en a.
  • La troisième est d’imaginer des options et des façons alternatives de se comporter afin d’obtenir des résultats différents, à partir de cette même réalité.
  • Et enfin, la dernière étape consiste à valider et renforcer l’engagement de la personne pour passer à l’action.
Le processus s’ajuste aux besoins de chacun et, en ce sens, évolue parfois en aller-retour d’une étape à l’autre.

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7. Quel est le rôle du coach dans un processus de coaching ?

Tout d’abord, le coach offre à la personne un espace de confiance pour lui permettre de s’ouvrir à elle-même et explorer en toute confiance sa réalité. Pour cela, le coach garantit la confidentialité ainsi qu’une acceptation inconditionnelle et sans jugement de la personne (éthique de la profession).

A partir de cet espace sécurisé, le rôle principal du coach est d’encourager la réflexion et la prise de conscience de son client par l’écoute active et la formulation de questions appropriées.

Le rôle du coach
Et tout au long du processus, le coach accompagne, soutient, guide, renforce, pousse, encourage, défie, etc. afin que son client découvre par lui-même ses propres ressources et réponses pour avancer vers ses objectifs.

8. Quel est le rôle du client dans un processus de coaching ?

Ma première question avec un nouveau client est généralement : « Qu’est-ce qui vous conduit à chercher un coach en ce moment précis de votre vie ? » Clarifier cette impulsion et la motivation pour pousse la personne à commencer un processus de coaching est le point de départ essentiel pour valider la décision personnelle qui soutient le désir de changement.

Dans ce cadre, le rôle du client est d’accepter de s’ouvrir à son coach, et en miroir à lui-même, d’explorer et de questionner, si nécessaire, sa façon de penser, de ressentir et d’agir. Il consiste également à s’engager à expérimenter, entre les sessions, les actions convenues pour mettre en œuvre les alternatives possibles explorées au cours des séances.

Enfin, le client assume à tout moment le protagonisme de son processus, ce qui signifie une communication claire et directe avec son coach.

Le rôle du client pendant la séance de coaching

9. Pourquoi une séance d’essai est-elle souvent effectuée ?

Il est très courant dans la profession d’effectuer une séance d’essai avant de commencer le processus de coaching. Bien que le coaching soit de plus en plus reconnu, la personne peut avoir une vision confuse voire erronée de ce que c’est réellement. Cette séance vous permet d’en faire l’expérience directe en expérimentant comment cela fonctionne et ce que ça peut vous apporter.

Pourquoi une séance d’essai est-elle souvent effectuée ?
Además, cada coach tiene su estilo propio y su forma de trabajar. Esta sesión de prueba representa una oportunidad para ambos, coach y cliente, para establecer y valorar la relación de confianza. Esta sesión puede ser pagada o , según el coach.

10. Qu’est-ce que le coaching de vie peut m’apporter ?

Le coaching de vie consiste à accompagner une personne vers la réalisation de ses objectifs. En ce sens, les bénéfices du coaching sont aussi vastes que la diversité des objectifs poursuivis, tant sur le plan professionnel que personnel. Cependant, certains des apprentissages les plus précieux d’un processus de coaching peuvent être mis en évidence :

Qu’est-ce que le coaching de vie peut m’apporter ?
  • Sur le plan professionnel, le développement de compétences telles que la définition de sa vision, le leadership, la communication effective, l’affirmation de soi, la prise de décision, la concentration, la gestion du stress, la gestion du temps, la capacité à poser des limites, la créativité, la gestion du changement, la flexibilité, la prise de risque, etc.
  • Sur le plan personnel, le renforcement de l’estime de soi et de la confiance en soi, le respect de soi, l’amour de soi, apprendre à se valoriser, la motivation et la détermination, l’intelligence émotionnelle, savoir dire non, le bien-être, la paix, la positivité, l’acceptation, la capacité de prendre sa place dans la vie, etc.

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